• La bénédiction de Dieu récompense la fidélité

    Dieu guérit Job, lui redonne richesse et famille. Il bénit la fidélité de Job et corrige ainsi la théologie à courte vue des amis de Job

  • Qui est comme Dieu ?

    La réponse de Dieu à Job est celle de Celui qui n’a pas à rendre des comptes, mais dont la puissance et le soin sont si grands qu’il invite simplement à s’en remettre à lui dans une confiance renouvelée. Sa justice dépasse celle des hommes. Mais elle seule est totalement juste

  • Accompagner un homme en détresse ne veut dire ni en rajouter par des paroles inutiles, mensongères ou moralisantes, ni se lamenter, mais être là, dans la confiance et l’amitié respectueuse !

  • La souffrance n’est pas toujours expliquable

    Job sait que sa souffrance n’est pas dûe à une infidélité de sa part. Il a été fidèle. IL sait aussi qu’on ne peut pas pas avoir raison contre Dieu…

  • Notre ange est plus fort que les démons

    Dieu pourvoit chaque être humain avec un ange protecteur, comme Moïse. Ce gardien de nos âmes a plus de pouvoir que le démon, à moins que notre coeur ne soit pas tourné vers lui. Notre liberté reste entière.

  • Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris

    Satan provoque Dieu sur la foi de Job dont il pense qu’elle n’est pas authentique mais intéressée. Dieu accepte le défi et fait mettre Job à l’épreuve

  • Qui n’est pas contre nous est avec nous

    Moïse, comme Jésus, regarde avec bienveillance ceux qui prophétisent selon le Coeur et le Loi de Dieu, même s’ils ne font pas « partie » du groupe des disciples

  • Satan a déjà perdu !

    La bataille que nous livrons sur la terre a déjà été gagnée dans le Ciel grâce à Michel et aux anges qui ont résisté aux anges déchus par leur orgueil. Faisons nôtre leur victoire

  • Le temps de Dieu n’est pas le nôtre

    Qohèleth est réaliste : la vie humaine est emplie de bons et de mauvais moments. Le Christ nous fait tout traverser sans être détruits et d’accompagner nos frères dans les moments de souffrance

  • Accorde moi seulement de quoi subsister

    Le sage prie pour demander d’éviter la richesse – qui risque d’éloigner de Dieu – ou la misère, qui risque d’entrainer au mal